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jeudi 16 février 2023
Spécial Festival Culturel Guma 2021 en Images
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vendredi 14 juillet 2017
Premier Festival Culturel Guidar
Premier Festival de la Culture Guidar du 03 au 05
Novembre 2017 à Guider
C
a y est ! La 2e Assemblée générale ordinaire
(AGO) de notre association, GUMA-ASPROCG, va se tenir cette année, les 3, 4 et 5
novembre, à Guider, son siège. Couplé à cet événement, aura lieu la toute
première édition du festival culturel guidar.

Un événement pouvant en cacher un autre, nous
avons décidé d’organiser concomitamment la première édition du festival
culturel guidar. Qu’est-ce qu’un festival ? Pourquoi organiser un festival
guidar ?
Parmi les nombreuses définitions qu’en donnent
les spécialistes, on peut retenir tout simplement qu’un festival est une
manifestation à caractère festif, organisée à époque fixe et récurrente
(annuellement, le plus souvent) autour d'une activité liée au spectacle
(musique, cinéma), aux arts, aux loisirs, etc., d'une durée de un ou
plusieurs jours. Luc Benito dans son ouvrage Les festivals en France : Marchés
– enjeux et alchimie définit le festival comme « une forme de fête unique,
célébration publique d’un genre artistique dans un espace-temps réduit ». De
cette définition, on comprend qu’un festival est un projet « détonnant » dans
la mesure où chaque festival est un évènement « unique » en son genre et
festif.
Un internaute publiait sur sa page Facebook le
9 novembre 2012 un article sur la prolifération des festivals culturels au
Cameroun. Il citait notamment le Nguon chez les Bamoun, le Ngondo du peuple
Duala, le Mbog-lia des Bassa ou encore le festival culturel Yem-Yem. On
pourrait en ajouter bien d’autres comme le Tokna Massana qui vient de tenir en
avril dernier sa 6e édition à Bongor. Et il s’interrogeait : « Et si tout ce
vaste déploiement n’était que de la poudre aux yeux destinée à dissimuler stratégiquement
certaines manœuvres politiciennes inavouables ? Et si par malheur, ces
rendez-vous considérablement populaires préparaient sournoisement autre chose
que ce qui est généralement et généreusement proclamé à la face du monde
? »
Alors, est-ce que l’organisation du festival
culturel guidar répond-il à la mode ou cache-t-il un agenda mesquin ?
En fait, organiser un festival c’est répondre
à un certain nombre de questions : Quoi ? Pourquoi ? Pour qui ? Comment ? Pour
nous, la réponse à ces questions éclaire en même temps notre réelle ambition.
Quoi ? Un festival culturel guidar. Pourquoi ? La question du bienfondé du
festival culturel guidar a été posée dès la naissance même de GUMA-ASPROCG. Les
réflexions qui ont mené à la création de l’association ont identifié
l’organisation d’un festival culturel comme instrument indispensable pour la
sauvegarde et la promotion de la culture guidar. La première AGO a également
adopté le festival parmi les actions du programme. Pour qui ? Pour le peuple
guidar, d’abord, mais aussi pour tous les peuples du Mayo Louti et tous hommes
intéressés par la culture universelle. Comment ou quel contenu ? Notre festival
culturel comportera des danses et chants traditionnels ; les prestations des
artistes-musiciens modernes guidar ; des expositions de l’art et de la cuisine
guidar ; la construction d’une concession guidar ; des conférences-débats. En
clair, le festival culturel entre dans le cadre des actions phares qui doivent
concourir à la défense et à la promotion de la culture guidar, comme défini par
notre association culturelle, GUMA-ASPROCG. C’est tout, c’est grandiose, c’est
vital pour les Guidar et pour la culture tout court, c’est noble ! Il n’est
donc pas nécessaire de lui trouver une autre raison d’être.
Cela étant, le festival culturel guidar
n’occupe pas tout l’espace des festivals dans notre département ou chez Guidar.
Des festivals similaires peuvent être organisés par les peuples voisins, ce qui
serait une bonne chose pour l’expression de la diversité culturelle du
Cameroun. Des festivals thématiques autour de la danse, des chants, de
l’artisanat, peuvent être organisés par d’autres associations ; par exemple des
organisations estudiantines. Chaque festival ayant son propre champ d’action,
sa définition dans le temps et dans l’espace, il ne saurait y avoir de
concurrence malsaine.
Ceci étant posé, la phase pratique de
l’organisation de notre festival a commencé. Nous avons adopté le nom :
GUMA-Festival culturel guidar. Pourquoi GUMA ? Le guma, c’est le grand tamtam
qui symbolise la danse la plus populaire en pays guidar et qui se joue lors des
plus grands événements : les fêtes annuelles des villages, la fête des jumeaux
et, de nos jours, toutes les grandes manifestations publiques. C’est le nom et
le logo qui sont également liés à notre association culturelle, GUMA-ASPROCG.
Un logo du festival a également été adopté, consistant en un cercle comportant
au centre le guma devant une montagne, symbolisant les lieux d’implantation des
principaux villages du pays guidar ; le nom du festival et en guidar, la phrase
Ma henzi? net ?iy na Ka?a qui veut dire « culture guidar » sont inscrits autour
de ces symboles. Le thème général du festival est "Environnement, culture
et santé : des évolutions à maîtriser". Il est question de nous interroger
sur les conséquences de la dégradation de notre environnement. La culture,
c’est l’adaptation d’un peuple à son environnement. Si celui-ci change
profondément, soit le peuple adapte sa culture pour continuer à y vivre, soit
il migre ou il disparaît. La tendance actuelle à la migration des Guidar hors
de leur territoire d’origine sera-t-elle la seule réponse au changement de leur
environnement ? Telle est la problématique que nous aurons à affronter de plus
en plus. Le lieu sera Guider, capitale du pays guidar et siège de notre
association. Les dates : les 3, 4 et 5 novembre 2017. Parmi les outils de
promotion de l’image du festival, nous avons décidé de confectionner un pagne.
Des commissions ont été mises en place.
Les préparatifs sont donc bien lancés. Nous
sommes notamment à la recherche des financements. Tous les Guidar, fiers de
leur culture, doivent se mobiliser comme un seul homme pour la réussite de cet
événement essentiel pour leur survie. Aucun apport, quel qu’il soit, ne sera de
trop pour organiser une belle fête à Guider. Vous pouvez et devez vous servir
de ce site internet de notre association pour faire vos propositions. Mais nous
invitons aussi tous ceux qui animent des réseaux sociaux ou des groupes de
discussions sur Whatapp et autres mailings groupes de partager les points de
vue constructifs sur cet événement.
Albert Douffissa
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vendredi 15 juillet 2016
lundi 18 mai 2015
NOTRE CITOYENNETÉ CAMEROUNAISE EXPRIMÉE À TRAVERS NOS IDIOMES
Par Christian TOUMBA
PATALÉ[1]

Tirant ses origines d’un chant
patriotique de ralliement composé en 1928 à l’École
Normale de la Mission Presbytérienne de Foulassi, l’hymne national du Cameroun
est adopté par l’Assemblée Législative du Cameroun (ALCAM) à travers la Loi n°
57/47 du 5 novembre 1957, loi portant création d’un hymne de l’État du
Cameroun. Le contexte de composition de
l’hymne est, en effet, lié au contexte de la visite du gouverneur français Marchand.
La musique composée par Moïse Nyatte Nko’o et René Jam Afane est adaptée au
texte écrit pas Samuel Minkio Bamba. Après son adoption, l’hymne subit des
modifications, notamment pour des raisons de conformité historiques et
socio-psychologiques. C’est la Loi n° 70/LF/4 du 20 mai 1970 qui apportera ces
modifications dans le texte original.
Loin de la barbarie et de la sauvagerie d’en
tant ce sont, désormais, la jalousie de
la liberté, l’unité du Nord au Sud,
de l’Est à l’Ouest, le service,
le devoir patriotique, le vrai bonheur, l’amour et le grand honneur qui sont exaltés et proclamés de façon
solennelle tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du territoire national. Il va
quand même falloir attendre la Loi n° 78/02 du 12 juillet 1978 pour voir
l’officialisation des deux versions de l’hymne (en français et en anglais),
ceci matérialisant le caractère bilinguiste et biculturaliste des institutions
et des administrations étatiques et nationales. Les camerounais, à travers leur
diversité ethnique et linguistique, s’approprient dès lors les mots et les
textes de leur hymne, ceci à travers des processus d’inculturation ; il
s’agit principalement de la traduction de l’hymne national dans les langues
nationales. C’est ainsi que l’on aura par exemple l’hymne national camerounais
traduit en langue Kaɗa : Gǝlia
Marba Dǝlev Namǝ.
Gǝlia Marba Dǝlev Namǝ
Couplet
Aw Kamerun gǝla
marbet deŋgiɗmǝ.
Adaw daŋga dǝ
kotorok naŋgla Zazaya.
Va paya gabaya nok
dǝsan gǝni
Mahenzin ɓǝɓǝl na
ǝtaf gǝm ǝslere
Kǝta kirtuk pak sǝ tapaslay pay pak
Dǝsoŋgǝn dǝ ǝŋgla pay pakǝ.
Əgǝɗ suk Weza dǝsan an anadaw kaya
Na ǝkǝnahan Weza net pay pakǝ.
Refrain
Dǝlǝv namǝ delǝv mǝŋgluwen
Iste kaka ǝnnek nam gesiŋ
Ənnek nam gǝm ǝmpǝs namǝ
Sukiyi ǝŋgla dǝ ǝdiy kiyuk pakǝ.
![]() |
Partition musicale de l'Hymne national du Cameroun en Guidar |
Nous nous proposons, de ce fait, de vulgariser cet hymne national camerounais en langue Kaɗa. Il est question pour nous d’exprimer notre citoyenneté camerounaise à travers notre idiome. Une telle manière de procéder s’inscrit aussi dans le sillage des volontés étatiques de promotion de nos langues maternelles et nationales. À titre informatif, le texte de l’hymne national camerounais a été traduit en langue guidar par un groupe d’enseignants en juillet 2000.
Pour des difficultés d’ordre
technique, la partition musicale que nous proposons ne contient pas le texte
écrit avec les lettres de l’alphabet guidar (le ǝ y est par exemple
remplacé par eu, le ɓ par b, le ŋ
par ng
et le ɗ par d). À chaque fois, l’utilisateur
pourra se référer au texte même de l’hymne national en langue Kaɗa. Aussi, il importe de relever que des
amendements peuvent éventuellement être apportés à notre partition musicale.
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mardi 2 décembre 2014
JE PEUX AUSSI FAIRE MON ARBRE GÉNÉALOGIQUE
Nous proposons au visiteur de notre blog de
faire son propre arbre généalogique en s’inspirant de l’exemple suivant. Après
avoir enregistré l’image dans votre ordinateur ou dans un disque amovible, et
après l’avoir imprimée vous essayerez de remplir les vides. Sans le savoir, et
peut-être même sans le vouloir, cela va vous obligera à entrer dans l’histoire
profonde de votre propre famille.
Nous
vous disons « Du courage ! » pour ce périple dans l’histoire de
votre famille. Pour le Guidar en particulier, sachez que la reconstitution de
l’histoire de plusieurs familles permettra de reconstituer celle de tout un
village, pourquoi pas celle de toute la famille Kaɗa. Qui sait si vous qui envisagez à l’instant de
faire votre propre arbre généalogique et moi n’avons pas les mêmes
arrière-arrière-grands parents !
N.B. : - Pour vos contributions, bien vouloir envoyer vos textes à l’adresse suivante : toumbapatale@gmail.com
- Vous pouvez aussi nous retrouver sur Facebook : https://www.facebook.com/DiyNaKaa
MON ARBRE GÉNÉALOGIQUE
Par Christian TOUMBA
PATALÉ[1]
Par-delà le
nom qui permet de nous identifier au sein de la communauté ou d’identifier tout
un groupe de personnes, le lien sanguin est précis quant aux investigations sur
un individu et/ou sur un groupe social donnés. Ne dit-on pas souvent que le
lien de sang est très fort et éternel ? L’idée de Nation chères à
plusieurs États, tant prémodernes que modernes, n’est-elle pas sous-tendue par
le sentiment d’appartenance à une même famille des peuples de ceux-ci, et de
lien historique qui les unis ? En tout cas, la génétique ne nous dira pas
le contraire en ce qui concerne surtout le lien de sang. C’est dans une telle
logique que se situe toute approche généalogique, pourquoi pas génétique de
tout groupe ethnique. Une telle manière de faire permet de remonter aux
origines des faits, des événements, des choses et des réalités qui ont été,
dans le passé, des facteurs décisifs pour l’actualisation du présent, et de ce
que sera le futur. La chose socioculturelle n’est pas en marge
d’une telle façon de procéder. L’idée d’arbre
généalogique, certainement plus ou moins bien connue de beaucoup, est, en
ce sens, très illustrative. Mon arbre
généalogique ! Non ! Je n’épiloguerai pas, au sens propre des
termes, sur mon propre arbre
généalogique. Ce dont il est question ici est l’insistance sur la fonction, le
rôle, l’importance et la place de l’arbre généalogique dans la vie de tout
individu en général et celle du Kaɗa en particulier. À la vérité, l’utilisation
des arbres généalogiques est très ancienne.
Une histoire très ancienne
L’utilisation
des arbres généalogiques est très ancienne. Déjà, les mythologies retraçaient les
générations des dieux. Dans la Bible, c’est l’une des généalogies les plus
populaires qui est reconstituée dans l’Évangile selon saint Matthieu[2]. Il
en allait de même pour la tradition islamique dans laquelle une parenté avec le
prophète charrie de l’honneur à travers le temps. C’est ainsi que, de façon
générale, l’arbre généalogique a été utilisé pour établir la noblesse du sang
d’un individu (la différence entre l’esclave et l’homme libre par exemple). L’historique
des questions généalogiques pourrait être bien longue[3]. Étant
d’un domaine scientifique à part entière qui est la généalogie, l’arbre
généalogique, comme son nom l’indique, est ainsi désigné par analogie au
développement végétal. La généalogie, si je m’en tiens à la définition que
donne le Petit Robert de la langue française 2012 est la « Suite d'ancêtres qui établit une filiation »[4], la
« Science qui a pour objet la recherche de l'origine et de la filiation
des familles »[5]
et l’ « historique d’un évènement »[6]. On
entendra alors parler d’ascendance, de descendance, de famille, de filiation,
de lignée, de race, etc.
Des motivations, fonctions et importances
variées
L’élaboration de l’arbre
généalogique peut être faite par une généalogiste professionnel ou par soi-même
pour identifier des ancêtres sur plusieurs générations.
-
Il permet alors de retracer l’histoire d’une ou
de plusieurs familles. C’est d’ailleurs la principale raison qui pousse
beaucoup à élaborer leurs arbres généalogiques. Car ce sont les
arrière-grands-parents, les grands-parents et les parents qui ont fait de nous
ce que nous sommes.
-
D’un point de vue psychologique, l’arbre
généalogique peut permettre la liaison psychologique d’un individu avec ses
ancêtres. Dès lors, les évènements tant joyeux que tristes seront pris pour ce
qu’ils sont. Cela est très palpable avec les descendances qui n’ont pu
connaître leurs ascendants (les enfants abandonnés notamment).
-
Entre autres, des secrets (oubliés ou inavoués)
dont les impacts sont lourds dans le présent et le future peuvent être révélés.
-
L’arbre généalogique permet aussi d’éviter les
liens prohibés tels l’inceste. Sur ce point la culture Kaɗa est très regardant
lorsqu’il s’agit nomment de lier ses fils et filles à travers l’union du
mariage. Deux membres d’un même clan ne peuvent être unis par le mariage[7].
-
Il s’agit également de voir comment trouver sa
place et sa voie dans l’ensemble que constitue la famille. L’on ne naît pas ex nihilo. Dans un contexte économique
et politique en particulier, l’accompagnement du client à long terme et du
politique pourra être facilité.
-
La nécessité peut aussi s’imposer ;
lorsqu’il est par exemple question d’héritage, de la comptabilité familiale
(n’oublions pas que l’étymologie du mot économie nous renvoie avant tout à la
gestion des biens de la famille), de l’assurance de la noblesse de la lignée, etc.
Une variété de représentations
La représentation de la généalogie d’un
individu se veut avant tout arborescente. Il y a toujours un individu racine en
bas de la page et des individus parents dans les branches et les feuilles. Il
s’agit ici d’un arbre généalogique faisant ressortir l’ascendance d’un
individu. Il pourra aussi s’agir de la représentation d’une descendance ;
là, nous aurons plutôt plusieurs racines, représentants les descendants de cet
individu, racines qui vont tous, à partir du bas, converger vers l’individu en
question. Pour être précis, l’arbre généalogique ascendant vise la recherche
des ancêtres d’un individu, tandis que celui descendant porte sur la
descendance d’un couple bien défini.
À toi maintenant de faire ton arbre généalogique
Nous proposons au visiteur de notre blog de
faire son propre arbre généalogique en s’inspirant de l’exemple suivant. Après
avoir enregistré l’image dans votre ordinateur ou dans un disque amovible, et
après l’avoir imprimée vous essayerez de remplir les vides. Sans le savoir, et
peut-être même sans le vouloir, cela va vous obligera à entrer dans l’histoire
profonde de votre propre famille.
Nous
vous disons « Du courage ! » pour ce périple dans l’histoire de
votre famille. Pour le Guidar en particulier, sachez que la reconstitution de
l’histoire de plusieurs familles permettra de reconstituer celle de tout un
village, pourquoi pas celle de toute la famille Kaɗa. Qui sait si vous qui envisagez à l’instant de
faire votre propre arbre généalogique et moi n’avons pas les mêmes
arrière-arrière-grands parents !
N.B. : - Pour vos contributions, bien vouloir envoyer vos textes à l’adresse suivante : toumbapatale@gmail.com
- Vous pouvez aussi nous retrouver sur Facebook : https://www.facebook.com/DiyNaKaa
[1]
Étudiant-chercheur, Université de Dschang, Ouest-Cameroun.
[2]
1, 1-18. La liste des parents de Jésus contient alors quarante-deux (42) noms
repartis en trois séries de quatorze (14) noms. Avant cela le livre de la
Genèse présentait les liens de parenté entre le peuple de Dieu et les premiers
hommes créés par Dieu (Adam et Ève). Parallèlement, les auteurs de plusieurs
livres de la Bible prennent le soin d’insister sur l’enracinement historique
des faits.
[3]
Pour plus de détails l’on pourra lire l’article sur la généalogie de
l’Encyclopédie en ligne Wikipédia. Cf. aussi
http://claire-d-aude.over-blog.com/m/article-65694939.html,
http://www.linternaute.com/pratique/loisirs/genealogie/generalites/473.pourquoi-constituer-son-arbre-genealogique.html
et http://www.yvongenealogie.fr/tresors-genealogiques/arbre-genealogique-telechargements/.
[4]
Rey (Debove) et et Rey (Alain), Le
Nouveau Petit Robert de la langue française 2012, version électronique,
texte remanié et amplifié, Le Robert/SEJER.
[5]
Id.
[6]
Id.
[7]
Nous y reviendrons certainement dans un autre texte quand il sera question de
réfléchir un tant soit peu sur la question du mariage chez les Kaɗa.
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